BUREAU NATIONAL DE VIGILANCE CONTRE L ANTISEMITISME
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Le Président Sammy GHOZLAN
Le 6/1/11 Le BNVCA a reçu un grand nombre de protestations de correspondants indignés par la publicité faite autour de Stéphane Hessel ,tant à la télé que sur les radios, ou la presse écrite pour encenser ce personnage ,alors que selon le chercheur Pierre André Taguieff, Hessel serait une légende préfabriquée sous fond dimposture car
1-Hessel ne serait pas juif, mais protestant luthérien depuis plusieurs générations.
2-Hessel naura pas été interné à Buchenwald en tant que juif, mais en tant que prisonnier politique.
3- Hessel na pas subi le sort tragique des autres internés, car féru de la culture allemande, il aurait bénéficié de la mansuétude de lEtat Major du camp nazi, dextermination, auprès desquels il a servi, avant de sen évader. 4-Hessel naurait jamais participé à la rédaction de la déclaration universelle des droits de lhomme avec René Cassin. Par contre, Hessel qui manifeste une indignation sélective, est assurément lami des terroristes du Hamas ,qui bombardent les populations civiles juives dIsrael, pour lesquels le prétendu grand humaniste Hessel na exprimé que de lironie. Il est lintime des dirigeants du Hamas qui gardent en otage depuis 3 ans un compatriote franco israélien de 20 ans, sans aucune visite daucune ONG humanitaire. Hessel lhumanitaire semble saccommoder des crimes contre lhumanité commis contre les tchétchènes, les chrétiens, les Kurdes, les Kabyles, le Darfour, etc
Hessel lhumanitaire fait la sélection entre les victimes. Son regard ses attaques ne visent quIsrael qui se défend pourtant contre un terrorisme antijuif déclaré. HESSEL qui a commis un appel public à boycotter Israel en infraction avec nos lois, fait lobjet dune plainte du BNVCA Le BNVCA constate que tous ceux, médiocres ou pas, ou connus comme Hessel, qui proclament la haine dIsrael et des israéliens, sont propulsés par les média. Dans ce bas monde et en France aussi, Les Artistes, universitaires, écrivains, cinéastes, politiques, ont compris que pour sortir de lanonymat et devenir celèbres,il leur suffira de critiquer Israel . Cest ça quon respecte, cest ça quon honore, cest ça quon soutient ; Nous sommes indignés, Indignons nous, indignez vous §§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§§ Références 1- Identité juive : « Cette identité juive est clairement rejetée par Hessel lui-même dans l’un de ses livres : « Je ne me considère pas comme juif » (Stéphane Hessel, « Citoyen sans frontières », Paris, Fayard, 2009, p. 75). Dans ses mémoires, Hessel précise quant à ses grands-parents paternels » « Au tournant du siècle, Heinrich Hessel et sa femme Fanny rompirent avec la tradition juive, s’établirent à Berlin et firent baptiser leurs enfants dans la religion luthérienne. » (« Danse avec le siècle », Paris, Le Seuil, 1997, p. 10) 1- Internement à Buchenwald « Le jeune déporté politique Hessel y bénéficia d’un traitement de faveur. Il ne s’en cache pas dans ses mémoires : « En décembre 1944 [
], je suis pris en sympathie par les deux prominenten de ce petit camp, le Kapo Walter et le Schreiber Ulbricht. Ils me font porter pâle et travailler auprès d’eux. Je profite des privilèges que ces déportés expérimentés ont acquis pour eux et pour leurs protégés : meilleure nourriture, un peu plus de place dans les châlits. Je dois ces faveurs à ma pratique de la langue allemande. [
] Grâce à eux, je m’initie au fonctionnement administratif du camp. Ces tâches gestionnaires, d’ailleurs complexes, les SS les ont confiées aux détenus. Le climat humain dépend de la façon dont ces détenus de fonction, ces prominent en s’acquittent de leur travail. [
]. Walter et Ulbricht sont des politiques. [
] Ils aiment bien m’écouter réciter des vers de Goethe ou de Hölderlin. [
] Celui qui sait raconter, dans un camp, bénéficie de la meilleure des protections. » (« Danse avec le siècle », pp. 90-91). » 3 – Rédaction de la Déclaration des droits de lHomme : .. « de la vérité historique sur un moment-clé de sa carrière diplomatique, il vient enfin de reconnaître publiquement, dans son interview publiée le 18 novembre 2010 par Politis, qu’il n’a pas été l’un des « corédacteurs » de la déclaration universelle des droits de l’homme de 1948, mais un simple témoin de son élaboration : « On peut donc dire que j’ai assisté à sa rédaction de très près et de bout en bout, mais de là à prétendre que j’en ai été co-rédacteur ! »