COMMUNIQUE
DRANCY LE 20 SEPTEMBRE 2007-
Le Bureau National de Vigilance Contre lAntisemitisme denonce et condamne lagression violente commise contre une jeune fille de confession juive, au bas de son immeuble à Paris 15° le 18/9/07 à 16h30,par un groupe de jeunes filles quelle decrit comme dprigine maghrebine,une metisse et trois hommes quelle décrit comme de couleur dorigine africaine.
Selon la victime, Mlle Friedman Chrystel,alors quelle rentrait chez elle, constate que trois jeunes filles occupaient le hall en buvant de la biere et fumant des produits toxiques.Elle les invite à quitter les lieux,et cest à ce moment que les jeunes femmes se jettent sur elle et « la massacrent et la rouent de coups »Pendant quelle fait appel à la police,3 hommes surgissent, dont lun quelle reconnait comme un voisin ,armés de couteaux et la menaçant. Mlle FRIEDMAN a déposé une plainte, dans laquelle elle précise le signalement des auteurs,ainsi que les vociférations menaçantes de lune des antagonistes qui l « insulte » et lui crie « Je vais te crever,que je te retrouve pas ,tes morte
je te croise tes morte »
La victime nous déclare quelle na pas entendu de propos antisémites,mais considère que la violence qui sest exercée sur elle resulte du fait que les agresseurs la connaissent et savent quelle ést juive.
Traumatisée la victime dit souffrir de blessures (au visage,au ventre,au genou,au coude
)qui justifient une première « ITT de 5 jours.sous réserves de complications psychologiques ».
Nous rappelons que Mlle FRIEDMAN avait déjà agressee très violemment il y a deux ans, dans le métro,par deux hommes dorigine maghrébine qui avaient vu sa médaille juive sur son chandail.Elle en garde encore des séquelles psychologiques.
Nous saluons lintervention rapide des policiers sur les lieux,et qui ont procédé à larrestation dune lune des filles auteur présumée des coups et des menaces.
Nous demandons à la police de tout mettre en uvre pour identifier tous les auteurs de lagression,établir lincrimination raciste sil y a lieu,et les mettre à la disposition de la justice.
Mle FRIEDMAN nous exprime que désormais,par crainte de représailles,elle reste enfermée dans son appartement.
A sa demande Mlle FRIEDMAN sera assistée juridiquement par le BNVCA..